jeudi 4 décembre 2008

Mais que fait la police ?

Welcome to the Doulos SIL font package. The goal for this product was to provide a single Unicode-based font family that would contain a comprehensive inventory of glyphs needed for almost any Roman- or Cyrillic-based writing system, whether used for phonetic or orthographic needs. In addition, there is provision for other characters and symbols useful to linguists. This font makes use of state-of-the-art font technologies to support complex typographic issues, such as the need to position arbitrary combinations of base glyphs and diacritics optimally.
Doulos is very similar to Times/Times New Roman, but only has a single face - regular. It is intended for use alongside other Times-like fonts where a range of styles (italic, bold) are not needed.
One font from this typeface family is included in this release:
Doulos SIL Regular [lire la suite ici...]

samedi 29 novembre 2008

Identifier le verbe et le COD

Exercices en ligne ici !

La division et les programmes de 2002 : combat des chefs!

Un autre article de Brissiaud sur le café pédagogique à lire tranquillement!
Et la réponse de Roland Charnay : Calcul, résolution de problèmes, programmes : réaction au texte de Rémi Brissiaud

Les tables (?) d'additions

[...] Pour le dire simplement, la mémorisation des relations numériques dépend de deux facteurs : la répétition et la compréhension. Ces facteurs sont l’un et l’autre nécessaires mais leurs contributions respectives ne sont pas les mêmes dans le cas de l’addition et de la multiplication. La récitation des tables de multiplication aide à leur mémorisation. En revanche, concernant les additions élémentaires, ce n’est pas à force de répéter les relations correspondantes qu’on les mémorise mais en rendant leur reconstruction de plus en plus rapide. Et le moyen le plus sûr de rendre cette reconstruction rapide consiste à enseigner des stratégies de calcul pensé (7 + 5 = 5 + 2 + 5 = 10 + 2 ; 8 + 6 = 8 + 2 + 4 = 10 + 4, par exemple). Si l’enfant utilise une procédure de comptage rudimentaire pour trouver le résultat de 7 + 5, ça ne l’aide d’aucune manière à mémoriser la relation numérique « sept plus cinq égale douze ». S’il récite une table d’addition de façon répétée, cela ne produit pas non plus d’effet. On remarquera d’ailleurs que jamais l’école française n’a fait réciter des tables d’addition comme elle l’a fait des tables de multiplication (et comme elle continue, la plupart du temps, à le faire). De plus, il suffit de se livrer à une petite introspection pour se convaincre qu’il y a beaucoup moins d’association verbale dans « huit plus quatre…» que dans « quatre fois huit… » (dans le cas de la multiplication, la réponse fuse !). [...]
[lire la suite]

Pourquoi l’enseignement formel de la division au cycle 2 doit-il être évité ?

Calcul mental, symbolisme arithmétique et résolution de problèmes : quelques apports récents de la psychologie cognitive et culturelle
[...] De manière évidente, comme le dit Guy Brousseau, il est opportun de revisiter aujourd'hui la pédagogie du calcul mental à l'école. Ainsi, la manière dont l'introduction du signe « — » est suggérée dans les documents officiels de 2002 n'aide ni au calcul mental, ni à la résolution de problèmes relevant de cette opération. Mais les académiciens se trompent de remède : revenir à un enseignement formel de la division dès le cycle 2 en l'associant uniquement aux situations de partage, ce serait traiter la division comme l'est aujourd'hui la soustraction, ce serait aggraver la situation plutôt que l'améliorer.
En préconisant un retour à l'enseignement traditionnel, les académiciens pensent orienter l'école vers plus de rigueur, ils pensent l'inciter à mieux assumer ses responsabilités. Ces objectifs sont louables, mais le remède qu'ils préconisent est inadapté. En associant de manière précoce les symboles arithmétiques aux situations typiques (soustraction = retrait ; division = partage) et aux modes de calcul typiques (soustraire = décompter ; diviser = partager), on enseigne une toute petite partie de ce que les élèves devront comprendre et apprendre à faire. En fait, on enseigne la partie qu'ils apprendraient, même s'ils ne fréquentaient pas l'école (en utilisant la monnaie, par exemple). Et dans le même temps, on crée un obstacle à l'apprentissage de ce que les enfants n'apprendraient pas s'ils ne fréquentaient pas l'école.
On n'a jamais intérêt, à l'école, à mettre l'accent sur ce que les enfants apprendraient sans y aller. Il faut, par son enseignement, favoriser les progrès futurs des élèves et non se contenter de mettre un vernis qui « fait savant » sur les connaissances actuelles des élèves. Par exemple, il faut éviter de leur dire que, quand ils cherchent le résultat d'un retrait, ils font une soustraction et que, s'ils cherchent le résultat d'un partage équitable, ils font une division. Vygotski disait que les maîtres doivent s'employer à créer des zones de développement prochain en enseignant des concepts scolaires qui permettent aux enfants de repenser, restructurer leurs concepts quotidiens et pas seulement de les renommer. [...]

[lire la suite]

samedi 22 novembre 2008

Exercices en ligne : Carl s'y met!

Hotpotatoes pour créer des exercices en ligne de conjugaison ou autre (une façon de remédier à la difficulté scolaire : envoyez vos pages html : faites comme Carl ;0}

Son sont, exercices en ligne

Les homophones SONT - SON :
Sont peut être remplacé par étaient, il s’agit du verbe être.
Son peut être remplacé par ses. C’est un adjectif possessif.
Exemples :
Ils sont rentrés tard. Ils étaient rentrés tard.
Marc et son ami reviennent demain. Marc et ses amis reviennent demain.

Les homophones CE - SE :

Exercices à trous dans lesquels tu devras réfléchir sur le sens des mots:CE : pronom démonstratif, peut être remplacé par le pronom CELA. Ex.: Ce n’est pas juste. CE : adjectif démonstratif, est toujours suivi d’un nom écrit au masculin singulier. Ex.: Ce métal est rare. SE : pronom personnel, est toujours placé avant le verbe. Ex.: Ils se trompent